Manhattan — текст песни (Ludwig Von 88)

Planchant pour mettre jour
Les entrailles de la matire
L`arme qui lchera le feu
Et remuera la terre
Pariant sur mes pulsions
Eminemment destructrices
Ils voyaient tous en moi
L`envoye salvatrice
A peine m`avaient-ils port la lumire
Qu`ils vnraient sans crainte ma suppose puissance
Souhaitant au plus vite me voir brler les planches
De mon souffle abrasif, de ma chaleur intense
Quelques atomes instables
Aux moeurs plutt volages
Prts pter le feu
Ds la premire occasion
A cinq vingt neuf et quarante cinq
Ils sont les gaux des dieux
Ayant en leurs mains le moyen
De gnrer le feu
A peine ft mon premier tour de force
Dj l`envie les dmangaient
De me jeter mme la foule
Pour mesurer l`tendue de ma fougue
L`ivresse de la victoire les saisit
Leur tourne la tte, leur fait briller les yeux
Dtenteurs du feu sacr
Missionnaires impartiaux et furieux
Et ils sigent au plus haut du monde
Attisant toutes les convotises
Ne sachant de quel dmon immonde
Ils sont tombs sous l`emprise